Notre actualité

  • Les associations reviennent au CHU

    La Maison Des Usagers a ré-ouvert ses portes le lundi 7 juin 2021.
    Afin d’accompagner les associations de patients qui l’animent, le CHU Amiens-Picardie a organisé des séances de sensibilisation aux mesures de prévention applicables dans le cadre de la reprise d’activité des bénévoles et associations. La formation – obligatoire – a été réalisée par l’Unité d’Hygiène et d’épidémie hospitalière.

    Cette démarche s’inscrit dans le cadre d’un protocole strict :

    port du masque obligatoire
    nettoyage régulier des surfaces
    respect des distanciations entre les personnes
    gel hydro-alcoolique pour les associations et visiteurs
    jauge jusqu’au 1er juillet

    JE CONSULTE
    le planning

  • Moi(s) sans tabou

    Du 7 au 14 juin, le CPMT Amiens, propose une campagne de sensibilisation à la Santé Sexuelle et à la prévention des IST, dans le cadre du mois sans tabou proposé par le COREVIH Hauts-de-France. 

    Santé sexuelle, IST et VIH-SIDA : on se dit tout ça vaut le coup !

    De mi-mai à mi-juin, une campagne d’information, de prévention et d’incitation au dépistage en Hauts-de-France est conçue et organisée par le COREVIH Hauts-de-France et soutenue par l’ARS Hauts-de-France ainsi que la Région Hauts-de-France. Cette campagne dédiée au grand public et aux professionnels de la santé, du médico-social et aux associatifs s’inscrit dans la dynamique globale « Objectif 2030 : Hauts-de-France sans nouvelle contamination ».

    Le CPMT est partenaire

    Dans ce cadre, le Centre de Prévention des Maladies Transmissibles (CPMT) participe aux permanences téléphoniques en lien avec la plateforme des Hauts-de-France.

    Du 7 au 14 juin, dans le cadre de ses consultations, le CPMT proposera à ses usagers un kit composé d’un badge, de préservatifs, d’un autotest et d’une plaquette de la structure à destination des partenaires ou connaissances qui n’ont pas fait le test VIH.

    En effet, avant l’été propice aux sexualités variées et alors que « dépistage » résonne davantage avec « COVID-19 », les acteurs mobilisés pour la santé sexuelle dans les Hauts-de-France sensibilisent à l’intérêt de connaître son statut sérologique vis-à-vis des IST et du VIH.

    Le Centre de Prévention des Maladies Transmissibles (CPMT Amiens) du CHU Amiens-Picardie vous accueille sur rendez-vous :

    Lundi : 10h – 12h30 / 15h30 – 19h
    Mardi et Jeudi : 9h -12h / 14h -17h
    Mercredi : 9h – 17h
    Vendredi : 8h – 16h

    L’équipe pourra vous renseigner sur :

    SIDA
    Hépatites
    Infections Sexuellement Transmissibles (prélèvements et traitements sur place)
    Contraception (information et prescription)

    Les consultations sont ouvertes à toute personne, y compris mineure ou sans couverture sociale.

  • Donnez dès maintenant votre sang !

    L’établissement Français du Sang alerte sur un niveau historiquement bas des réserves de sang. Les citoyens sont appelés à poursuivre massivement leur mobilisation en faveur du don. Les besoins en transfusions sont quotidiens et importants.

    Les conditions pour faire un don de sang :

    ✔️ être âgé de 18 à 70 ans
    ✔️ peser au moins 50kg
    ✔️ être muni d’une pièce d’identité
    ✔️ne pas être à jeun

    JE PRENDS UN RDV
    pour donner mon sang

    L’EFS rappelle qu’il n’y a pas de risque de transmission de la Covid 19 par transfusion et toutes les mesures de précaution restent mises en œuvre pour éviter les risques de transmission du virus : prise de rendez-vous (pour un don de sang comme pour un don de plasma), port du masque obligatoire pour tous, application des règles de distanciations et d’hygiène renforcées.

    Par ailleurs, vous pouvez donner votre sang ou votre plasma sans délai après avoir été vacciné contre le virus Covid-19.

  • Reprise des visites au Centre Saint-Victor

    Compte-tenu de la couverture vaccinale des résidents du Centre Saint-Victor et de l’amélioration de l’épidémie de COVID-19 sur notre territoire, le CHU Amiens-Picardie organise un retour progressif à une vie sociale normale.

    Depuis le 3 mai, les sorties en famille pour tous les résidents sont autorisées. Au retour, pour les résidents bénéficiant d’un schéma vaccinal complet et validé, aucun test PCR ou isolement en chambre n’est nécessaire, sauf si le résident est considéré comme étant un cas contact.

    Les visites en chambre des résidents du Centre Saint-Victor sont possibles sous réserve que les proches :

    présentent leur pass sanitaire : un certificat de vaccination à condition de disposer d’un schéma vaccinal complet, un test négatif RT-PCR ou antigénique de moins de 72h ou un certificat de rétablissement de la Covid-19 : test RT-PCR positif datant d’au moins 11 jours et de moins de 6 mois,
    ne présentent pas de signe de maladie ou évocateurs de la Covid-19,
    2 personnes maximum par chambre,
    respectent les règles sanitaires,
    signent la charte d’engagement (respect des gestes barrières) à l’accueil avant de rejoindre votre proche.

    Si le temps le permet, il est conseillé de privilégier les visites à l’extérieur. Toute situation particulière sera soumise à avis médical.

    Un registre des visiteurs est tenu afin d’éviter de réitérer la vérification du pass sanitaire. Seules les personnes qui présentent le résultat d’un test RT-PCR ou antigénique seront autant de fois que nécessaires sollicitées pour présenter un document actualisé.

    Concernant les consultations de gériatrie sur le centre Saint-Victor (secteur ambulatoire gériatrique), le contrôle du pass sanitaire est obligatoire pour tous les patients et accompagnants (un certificat de vaccination à condition de disposer d’un schéma vaccinal complet, un test négatif RT-PCR ou antigénique de moins de 72h ou un certificat de rétablissement de la Covid-19 : test RT-PCR positif datant d’au moins 11 jours et de moins de 6 mois). Toute situation particulière sera soumise à avis médical.

    Il est demandé aux familles de se rapprocher de l’encadrement de proximité de l’unité où est hébergé leur proche pour plus de précisions sur les modalités de visite. Pour la santé de nos ainés et de tous, nous devons rester vigilants.

  • SDRApps : une nouvelle application pour les professionnels de réanimation développée par le service de Médecine Intensive – Réanimation du CHU Amiens-Picardie et l’entreprise TALAN

    Deux médecins réanimateurs du CHU Amiens-Picardie ont développé SDRApps, une application pour aider les médecins intervenant en réanimation, internes, assistants, praticiens hospitaliers francophones.

    Elle facilite la prise en charge de la complication la plus grave des infections pulmonaires, le Syndrome de Détresse Respiratoire Aigüe (SDRA), également la forme la plus grave de la COVID-19. L’application bénéficie donc à tous les patients COVID-19 hospitalisés en réanimation et placés sous assistance respiratoire.

    L’application permet d’optimiser les réglages du respirateur et donc d’améliorer l’oxygénation. Avec le respect strict des recommandations, cela permet d’éviter la surmortalité des patients souffrant de SDRA. Jusqu’alors, aucune application ne regroupait tous les outils indispensables au réglage du respirateur de ces patients.

    l’évaluation de la mécanique ventilatoire est facilitée à travers 20 outils et différents calculs automatisés. Les résultats de ces calculs permettent de personnaliser la ventilation des patients en SDRA. Ils sont basés sur les recommandations formalisées d’experts de la Société de Réanimation de Langue Française (SRLF) et de la Société Française d’Anesthésie Réanimation (SFAR) ainsi que sur l’analyse de la littérature scientifique.

    l’application SDRApps participe à un meilleur suivi du malade avec la génération automatique d’une fiche de synthèse des paramètres respiratoires pour le dossier du patient.

    l’application SDRApps est aussi un outil pédagogique puisqu’elle intègre 25 fiches explicatives avec une bibliographie riche. Des vidéos explicatives permettent de reproduire les manœuvres utilisées dans l’application.

    Dr Clément BRAULT et Dr Yoann ZERBIB médecins réanimateurs dans le service de Médecine Intensive – Réanimation du CHU Amiens-Picardie ont développé ce projet avec la collaboration d’acteurs du territoire :

    Talan engagé contre le COVID avec SDRApps !
    Il ne manquait à cette application que l’expertise technique des équipes de Talan Hauts-de-France pour mener à bien le projet des médecins réanimateurs du CHU Amiens-Picardie.
    Sarah Louvet, Directrice de l’agence d’Amiens, spécialisée dans le développement d’applications numériques, a su proposer une réponse adaptée au contexte, et au partage de connaissances médicales au bénéfice de tous.

    Amiens Cluster, plateforme collaborative d’innovation, a accompagné le projet dans son développement et son déploiement. Il a contribué à l’élaboration de sa stratégie ainsi qu’à l’identification de partenaires techniques et financiers.

    Et avec l’appui financier de l’ARS Hauts-de-France.

    Ce projet est issu de plusieurs observations liées à la pandémie COVID-19, où le nombre de patients hospitalisé en réanimation et présentant un SDRA a fortement augmenté. Des études scientifiques ont montré que dans 30% des cas et hors période COVID, le réglage du ventilateur des patients en SDRA n’était pas conforme aux recommandations des sociétés savantes (ceci pouvant être responsable d’une augmentation de la mortalité). Le SDRA reste un problème de santé publique puisqu’il s’agit d’une pathologie fréquente, grevée d’une mortalité importante (jusqu’à 40% dans les formes les plus sévères).

  • Exercice Plan blanc : accident simulé de montgolfières

    Le CHU Amiens-Picardie a participé à un nouvel exercice universitaire de médecine de catastrophe (ORSEC NOVI et ORSAN NOVI) organisé par le Centre d’Enseignement des Soins d’Urgence (CESU 80), jeudi 20 mai en fin de journée.

    De 17h à 20h30, SAMU, SMUR, pompiers, CUMP (Cellule d’Urgences Médico-Psychologiques EPSM de la Somme), étudiants en santé et personnels hospitaliers du CHU ont pris en charge les blessés et impliqués d’un accident simulé de montgolfières provoquant 37 victimes, impliqué 11 personnes et dénombré 1 décès, le pilote. Cette simulation a été jouée sur les sites Nord et Sud du CHU.

    Cet exercice a mobilisé :

    80 étudiants et formateurs en santé (de l’IFSI : Institut de Formation en Soins Infirmiers, de l’IFA : Institut de formation des ambulanciers, du CESU 80, de l’UPJV – Capacité de médecine de catastrophe et du Diplôme Universitaire de soins d’urgences en situation exceptionnelle)
    100 professionnels hospitaliers du CHU (du SAMU, des urgences, des services de soins, des directions et de la CME)
    50 personnels du SDIS (sapeurs-pompiers),
    4 membres de la CUMP EPSM de la Somme.

    Cet exercice est réalisé afin que les étudiants de l’UPJV en fin de formation puissent bénéficier de la simulation d’une situation sanitaire exceptionnelle. Il permet également de tester la chaîne de commandement extrahospitalière (SMUR et Pompiers), la prise en charge des blessés aux différentes étapes de la chaîne médicale de secours, la recherche à personne avec équipe cynophile et pour la CUMP, la mise en place et la gestion d’un regroupement des impliqués.

    En intra-hospitalier, cet exercice permet de tester le suivi des patients en régulation, la gestion de l’arrivée des blessés et leur orientation. Il permet aussi de tester ce que les hôpitaux appellent le plan de gestion des tensions hospitalières et des situations sanitaires exceptionnelles (antérieurement « plan blanc »).

    Ce processus prévoit une réponse à l’ensemble des risques auxquels le CHU Amiens-Picardie peut être confronté. Il définit comment adapter rapidement nos organisations internes pour mobiliser des ressources importantes en cas de crise majeure, tout ceci afin d’optimiser la prise en charge des patients lors d’événements graves et/ou inhabituels (tuerie de masse, accident industriel, catastrophe naturelle, …), tout en garantissant la continuité et la qualité des soins des patients en cours d’hospitalisation.
    Au CHU Amiens Picardie, ce plan vient d’être restructuré en totalité afin de prendre en compte les 5 volets prévus au dispositif national ORSAN (Organisation de la Réponse du Système de Santé).

  • Covid-19 : restons prudents !

    Les professionnels hospitaliers du CHU Amiens-Picardie fort investis rappellent que la vaccination et les gestes barrières restent les meilleures armes pour se protéger et protéger les autres.

    Port du masque chirurgical obligatoire

    Le port du masque chirurgical est toujours obligatoire à partir de 6 ans, les plus jeunes qui le supportent peuvent aussi le porter. Les masques en tissu ne sont plus autorisés dans l’enceinte du CHU.

    Hygiène des mains

    L’hygiène des mains est à pratiquer le plus souvent possible, soit avec du savon, soit avec une solution hydro-alcoolique

    Distanciation physique

    Il est important de respecter la distanciation physique entre les patients, avec les personnels hospitaliers. En salles d’attente, des sièges sont neutralisés, merci de les respecter le balisage.

    Ensemble agissons contre la Covid-19, respectons les gestes barrières.

  • Journée mondiale des MICI

    Chaque jour de l’année mais encore plus le 19 mai à l’occasion de la journée mondiale des MICI, les équipes du CHU Amiens-Picardie sont impliquées dans la prise en charge et la recherche sur les Maladies Inflammatoires Chroniques de l’Intestin (maladie de Crohn et rectocolite hémorragique).

    Le service d’hépato-gastroentérologie en collaboration avec d’autres secteurs (chirurgie digestive, imagerie, gynécologie-obstétrique, dermatologie ou rhumatologie) prend en charge de façon multidisciplinaire plus de 800 patients par an dont les femmes enceintes.

    Les équipes sont investies dans la recherche sur les MICI :

    recherche clinique avec plus d’une trentaine d’études ou essais cliniques nationaux ou internationaux en cours
    recherche épidémiologique en collaboration avec le registre EPIMAD
    recherche fondamentale (impact des facteurs environnementaux dont les pesticides) en collaboration avec l’unité de recherche PeriTox de l’UPJV

    Souvent considérées comme taboues, les MICI dont on ne connait pas les causes, ne se guérissent pas. Elles provoquent chez les personnes touchées des symptômes qui altèrent lourdement la qualité de vie : fatigue, diarrhées nombreuses et impérieuses, douleurs abdominales, perte d’appétit et de poids, fièvre… Les MICI touchent 10 millions de malades dans le monde, dont 250 000 en France.

    Une prévalence estimée à 0.6% de la population française d’ici 15 ans. Des maladies diagnostiquées à tout âge avec un pic chez les jeunes (15-25 ans).

    Grossesse et MICI : un suivi spécifique pour limiter les risques

    Le service d’hépato-gastroentérologie collabore avec le service de gynécologie-obstétrique pour accompagner la préparation et le suivi de grossesses des femmes touchées.

    Cette maladie dans sa période active, à l’inverse d’une maladie en rémission, diminue la fertilité et augmente certains risques (de poussée, de retard de croissance intra-utérin ou de prématurité).

    La majorité des traitements des MICI peuvent être utilisés, un suivi régulier permettra de vivre au mieux  la grossesse et l’accouchement (si besoin par césarienne).

    Ce guide « Grossesse & MICI de la conception à l’accouchement » répondra à certaines de vos questions :

    DES QUESTIONS ?
    Les professionnels du CHU Amiens-Picardie sont à votre écoute :

    En collaboration avec les services de rhumatologie et dermatologie

  • Se vacciner c’est se protéger et protéger les autres

    En cette semaine européenne de la vaccination, les équipes de professionnels du CHU Amiens-Picardie souhaitent rappeler les bénéfices de la vaccination.

    Les vaccins sont des médicaments d’une importance capitale pour la santé de tous, car ils permettent d’éviter un très grand nombre de maladies et d’épidémies. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 2 à 3 millions de vies sont sauvées chaque année grâce à cet acte simple de prévention.

    Quand nous sommes vaccinés, notre corps développe une réaction immunitaire spécifique contre l’agent infectieux. Personnellement protégée, la personne vaccinée va également contribuer à protéger d’autres personnes car elle n’est ne transmet plus le virus ou la bactérie à son entourage, évitant ainsi à ses proches, et en particulier ceux qui ne sont pas vaccinés, d’être contaminés, de développer la maladie et de disséminer l’agent infectieux dans la population générale.

    Se faire vacciner est le moyen de prévention le plus efficace aujourd’hui pour lutter contre de nombreuses maladies infectieuses graves, difficiles à traiter et/ou à risques de complications et de séquelles.

    La campagne de vaccination contre la Covid-19 continue, mais n’oubliez pas vos autres rendez-vous vaccinaux, des rappels sont nécessaires tout au long de la vie.

    Focus 2021 : La vaccination contre les papillomavirus humains (HPV) : un enjeu de prévention des cancers

    HPV est un virus responsable de nombreux cancers (surtout du col de l’utérus mais aussi de l’anus, ORL, …) mais également de verrues notamment génitales. Une vaccination sûre et efficace est proposée pour protéger les enfants contre les cancers HPV ou les verrues génitales pour tous. Elle s’adresse à toutes les jeunes filles de 11 à 14 ans depuis plusieurs années et depuis janvier 2021 à tous les garçons du même âge. Dans le cadre du rattrapage vaccinal, la vaccination est recommandée pour les jeunes entre 15 et 19 ans (homme ou femme). Pour les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, la vaccination HPV est recommandée jusqu’à l’âge de 26 ans.

    La vaccination est d’autant plus efficace que les jeunes filles et les jeunes garçons n’ont pas encore été exposés au risque d’infection par le HPV. Lorsqu’elle est effectuée avant le début de la vie sexuelle, la protection conférée par le vaccin contre les virus inclus dans le vaccin est proche de 100%.

    Après dix années de vaccination dans les pays où un nombre important de jeunes filles sont vaccinées comme l’Australie ou l’Angleterre, le nombre de nouveaux cas de lésions précancéreuses du col de l’utérus ainsi que de verrues génitales a nettement diminué.

    Pourquoi se faire vacciner ?

    Pr Jean GONDRY, chef du pôle Femme, Couple, Enfant au CHU Amiens-Picardie répond à 3 questions sur la vaccination contre les papillomavirus humains (HPV) :

    Qu’est-ce que le papillomavirus ?
    Le vaccin pour qui et pourquoi ?
    Comment faire la vaccination ?

    DES QUESTIONS ?
    Les professionnels du CHU Amiens-Picardie sont à votre écoute :

    Le Centre de Prévention des Maladies Transmissibles (CPMT Amiens)
    Chef de service : Dr Jean-Philippe LANOIX

    Consultez la page dédiée au CPMT
    Tel : 03 22 66 75 11
    Consultation sur RDV :
    – Amiens : 16 et 16 bis rue Fernel
    – Abbeville : 52 rue du Soleil Levant

    Le service de Gynécologie Obstétrique
    Chef de service : Pr Jean GONDRY

    Tel : 03 22 08 74 00
    E-mail : [email protected]
    Consultation sur RDV à Amiens :

    – Site sud du CHU Amiens-Picardie : 1 rond-point Professeur Christian Cabrol
    – Espace Santé Maurice Ravel (Amiens Nord) : 1 bis rue Maurice Ravel

  • Des infirmiers aux compétences élargies pour accompagner les patients en cancérologie au CHU Amiens-Picardie

    Deux infirmiers en pratique avancée (IPA) exercent ce nouveau métier depuis quelques semaines dans les services d’oncologie médicale (adulte) et oncologie pédiatrique (enfant) du CHU Amiens-Picardie. Ils ont acquis des compétences élargies relevant du champ médical et une expertise plus approfondie en sciences infirmières.

    Ils sont des personnes ressources pour le patient et ses proches. Avec leur accord, ils suivent les patients qui leur sont confiés par un médecin, dans le cadre d’un protocole d’organisation établi avec l’équipe médicale.
    Ils sont en mesure de réaliser une évaluation clinique globale du patient, d’effectuer une démarche diagnostique et thérapeutique autonome.
    Ils réorientent vers le médecin lorsque les limites de leur champ de compétences sont atteintes ou lorsqu’ils repèrent une dégradation dans l’état de santé du patient.

    En particulier dans des parcours complexes et parfois longs comme en cancérologie, ces infirmiers en pratique avancée permettent de proposer un accompagnement plus complet du patient et de son entourage.

    Ils participent à la coordination et surveillance clinique et paraclinique du parcours de soins en faisant le lien entre tous les acteurs de la santé du patient afin de fluidifier son parcours, et gérant les symptômes et les effets secondaires liés aux traitements anticancéreux. Ils interviennent aussi dans l’éducation aux traitements, aux soins, dans la prévention ou le dépistage.

    Cette profession dite intermédiaire a été créé en 2018 selon le périmètre de compétences défini dans le décret n° 2018-629 du 18 juillet 2018 relatif à l’exercice infirmier en pratique avancée. Une formation spécifique lui est dédiée avec un dispositif de cours-stages réglementé de deux ans.

    Guillaume BONNET, en 2019 et Sophie DEBON, en 2020, ont validé leur DE de Pratique Avancée mention oncologie et hématologie maligne et le Master 2 en Pratique Avancée en soins oncologiques à l’Université Paris-Est Créteil (UPEC).

    CONTACTS UTILES
    Unité d’onco-hématologie pédiatrique
    Sophie DEBON

    Secrétariat : 03 22 08 76 44

    Consultations d’oncologie médicale et d’hématologie clinique
    Guillaume BONNET

    Secrétariat : 03 22 45 64 31