Notre actualité

  • Projet Temeyouz : Améliorer les soins de santé primaire et de la santé maternelle et infantile en Mauritanie

    Le CHU Amiens-Picardie est associé à un projet d’envergure sous maitrise d’œuvre d’Expertise France et en collaboration avec le ministère de la santé mauritanien.

    Notre établissement participe à la formation des sages-femmes qui pourront assurer la prise en charge materno-fœtale en centre hospitalier ou en centre de santé et la coordination des services de santé sexuelle, reproductive et infantile dans 4 régions de Mauritanie (Nouakchott, Assaba, Guidimakha et Hodh el Garbi). Ce projet couvre la malnutrition aigüe sévère, depuis le niveau primaire jusqu’à la prise en charge globale des violences basées sur le genre et des fistules obstétricales dans les structures sanitaires publiques.

    Le projet Temeyouz couvre plus largement la structuration des formations initiales et continues de l’École Supérieure des Sciences de la Santé (ENSSS) de Nouakchott et de l’École de Santé Publique de Kiffa (ESPK)
    Emmanuelle CARDOSO, Sage-femme enseignante de l’École de sages-femmes investie dans ce projet, a mené une première mission à Nouakchott en janvier 2021 pour évaluer les besoins en formation des sages-femmes mauritaniennes ; 53 professionnels ont été rentrés.

    Cette mission a été suivi de 2 autres en octobre 2021 et en février 2022 pour adapter le cursus de formation au nouveau référentiel de compétences des sages-femmes mauritaniennes et au système LMD.
    Ceci implique une ré-ingénierie de la formation avec développement des compétences des enseignants en pédagogie active. L’objectif est d’adapter la formation des sages-femmes au sein de l’École Supérieure des Sciences de la Santé – ENSSS de Nouakchott, (basée en Mauritanie), aux besoins de santé nationaux et aux standards internationaux.

    Cette coopération a été formalisée dans le cadre d’un contrat-cadre signé en décembre dernier par le CHU Amiens-Picardie et le CHU d’Angers. L’équipe de Nouakchott a réalisé au mois de mai une visite d’étude de notre maternité, de SimUSanté et a rencontré l’équipe enseignante de l’école de sages-femmes, renforçant ainsi cette collaboration.

    Les principaux partenaires de mise en œuvre :

    Le ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de Technologies de l’Information et de la Communication
    Le Centre National de la Transfusion Sanguine (CNTS)
    L’École Nationale Supérieures des Sciences de la Santé (ENSSS)
    Les associations partenaires : Médicos del Mundi Espana (MDM) et Santé Sud (Sud) et Association Mauritanienne pour la Promotion de la Famille (AMPF)

  • Recherche en cancérologie : de nouvelles perspectives au CHU Amiens-Picardie

    Avec la nouvelle autorisation obtenue en mars 2022 de l’Agence Régionale de Santé, le CHU Amiens-Picardie peut porter et déployer davantage d’études et de projets de recherche pour lutter contre les cancers, notamment liés à des recherches médicamenteuses.

    En dédiant un « lieu de Recherche Impliquant la Personne Humaine » à la cancérologie, soit l’autorisation de consacrer des chambres pour mener des études avec les patients, le CHU Amiens-Picardie ouvre des nouvelles perspectives d’essais cliniques pour les patients atteints de cancer, au bénéfice de prises en charge innovantes.

    Cette autorisation est une reconnaissance de l’expertise en cancérologie du CHU Amiens-Picardie et de son centre de recherche clinique (et en particulier en Hématologie, Dermatologie, Oncologie médicale et Hépato-gastro-entérologie).

    Une partie de l’équipe de recherche clinique du Centre de Recherche Clinique cancérologie de l’Oncopôle

    Quelle est la définition d’un essai clinique de phase précoce ?

    Ces essais cliniques de phase I, appelés aussi phase précoce, permettent de tester la tolérance et l’efficacité de tout nouveau médicament, provenant de laboratoires pharmaceutiques, de sociétés de biotechnologies, mais également de laboratoires académiques, dans le respect des règles de protection des patients et des exigences de la réglementation internationale en la matière.

    Que peut-on attendre de ces essais en termes d’innovation ?

    Ces essais cliniques permettent d’améliorer la prise en charge des patients atteints de cancer en donnant accès rapidement aux patients à des molécules innovantes. L’organisation de ces essais renforce aussi la visibilité et l’attractivité de la recherche clinique française, et bien sûr celle menée au CHU Amiens-Picardie, auprès des industriels du médicament en France et à l’étranger.

    En quoi l’organisation de ce type d’essai est-elle différente ?

    Concrètement, cette autorisation délivrée pour 3 ans va permettre aux équipes de mener des recherches en cancérologie d’excellence :

    sur un médicament ou un traitement à destination des patients nécessitant des actes non habituellement pratiqués dans le cadre de l’activité du lieu de soins
    et d’effectuer des premières administrations de médicament au patient.

    Il s’agit donc d’études dans lesquelles la surveillance médicale (examens cliniques, biologiques, et d’imagerie) est plus intense que pour des essais cliniques à un stade plus avancé ou des traitements de pratique courante. L’objectif de cette surveillance rapprochée est de garantir avant tout la sécurité des patients. Par ailleurs, de nombreux examens et prélèvements (sanguins et/ou de tumeurs) sont réalisés à des moments très précis de manière à mieux comprendre comment l’organisme assimile le nouveau médicament, mais aussi à vérifier que le traitement produit bien l’effet biologique attendu chez le patient. L’ensemble de ces examens en font des études complexes à la fois pour les patients et les équipes soignantes.

    PLUS D’INFOS SUR LA RECHERCHE EN CANCÉROLOGIE DU CHU AMIENS PICARDIE

     A ce jour, ce sont ainsi 458 essais portant sur la cancérologie qui sont en cours au CHU Amiens-Picardie, dont 57 en qualité de promoteur.

    Le CHU Amiens-Picardie affiche ainsi une dynamique importante dans la stratégie décennale de lutte contre le cancer 2021-2030. Dans les Hauts-de-France encore plus qu’ailleurs, l’offre de soins en cancérologie et un accès proche à l’innovation et au recours doit être encouragée. La visibilité des projets de recherche en cancérologie et des essais cliniques disponibles sont des éléments essentiels qui favoriseront le parcours de soins en cancérologie.

    Le Centre de recherche clinique de l’Oncopôle situé dans des nouveaux locaux dans le bâtiment Fontenoy Hall 3, est animé par une équipe constituée d’un coordonnateur, d’une infirmière de recherche clinique et de techniciens de recherche clinique. Ils se consacrent à la réalisation des inclusions et aux suivis des patients conformément aux bonnes pratiques cliniques.

  • EpioneTV lancée à la rentrée !

    Le campus santé Epione développe une webTV pédagogique.

    Accessible à partir de septembre sur Epione, EPIONE TV sera nourrie de projets réalisés par et pour les étudiants en santé. Une occasion pour eux et pour leurs formateurs de valoriser leurs actions, idées, projets… en lien avec la santé.
    EpioneTV sera aussi une nouvelle ressource, fiable et à l’image des jeunes acteurs de la santé, pour tous les lycéens, les patients, les aidants, l’ensemble des professionnels de santé ou encore le grand public.

    Bientôt sur EpioneTV, découvrez :

    Les métiers de la santé vus par les étudiants
    Des sujets innovations recherche
    • Des conseils
    Des portraits
    Des actus
    De nombreux témoignages d’étudiants en santé
    Des concours, jeux, stories, sondages, FAQ… et bien plus encore… à vous de la faire vivre !

    N’hésitez pas à faire part de vos suggestions de sujets par email.

  • Animation Handijeux à Saint Victor

    Durant 2 jours, la Compagnie Sac à Dés a proposé des jeux qu’elle a fabriqués avec des objets ou des matériaux recyclés aux résidents de Saint Victor. C’est une façon de montrer qu’il est possible de donner une seconde vie aux objets. Autrefois, les jeux n’étaient pas construits de manière industrielle, les jouets étaient des éléments de la vie de tous les jours, détournés de leur usage. Si certains jeux sont des répliques de ceux d’autrefois, d’autres sont plus modernes bien que toujours fabriqués à partir du recyclage.

    L’association a pour vocation d’adapter les jeux pour que le plus grand nombre de personnes puisse les utiliser. Ainsi, elle prend en compte un maximum de handicaps :
    Troubles visuels : des repères tactiles et le son des pièces sur les plateaux aident au repérage spatial.
    Troubles cognitifs : des règles simples et modifiables qui peuvent être comprises par tous.
    Troubles auditifs : des voyants lumineux sont ajoutés aux signaux sonores.
    Troubles moteurs : les pièces sont de grande taille pour faciliter la prise en main et les plateaux peuvent être mis à portée de main. De plus, la plupart des gestes utilisés pour jouer sont simples comme faire glisser des balles sur un plateau pour le clic-ball et le billard japonais.
    Déficit en concentration : des jeux demandant un peu d’attention sont idéaux pour se concentrer tout en s’amusant !

    Ce sont 2 journées qui ont pu distraire les résidents et leur rappeler leurs souvenirs en jouant aux jeux d’antan.

  • Le bon patient, au bon endroit et au bon moment et en toute sécurité : les enjeux du transport patient

    AU CHU Amiens-Picardie, les différentes étapes du transport d’un patient, de la demande jusqu’à la dépose, font l’objet d’une traçabilité assurée par les brancardiers et ambulanciers.

    Sur leur smartphone et en temps réel, ces derniers transmettent au logiciel de gestion les données nécessaires au suivi du déroulement des transports et à l’optimisation des ordonnancements. Ils y déclarent également tous les dysfonctionnements qu’ils rencontrent, générateurs de retards de prise en charge et de potentielle attente pour le patient ou le soignant.

    Depuis le mois d’avril 2022, le parc des téléphones professionnels des brancardiers et ambulanciers du CHU Amiens Picardie a été renouvelé. Ces nouveaux terminaux permettent d’optimiser la réception et la traçabilité amis surtout de renforcer la vérification de l’identité du patient.
    Désormais, à chaque prise en charge, le brancardier est amené à lire, grâce à son téléphone professionnel, le code barre du bracelet d’identification du patient.


    Cette démarche d’identitovigilance permet de mieux sécuriser la prise en charge lors d’un transport patient

    Cette nouvelle pratique vient en complément des pratiques existantes de vérification de l’identité du patient (questions ouvertes posées au patient).
    Pour sécuriser tout parcours de soins, un bracelet d’identité est posé dès l’arrivée d’un patient en hospitalisation ou d’un nouveau-né.

    Afin de sécuriser l’identité de chacun, une preuve de celle-ci (carte d’identité, passeport) est demandée lors de toute admission. Ensuite, à chaque étape des soins, les professionnels de santé vérifient l’identité des patients qu’ils prennent en charge.

    70 agents parcourent en moyenne 1 800 km par an, principalement sur le site sud (80% de l’activité) 24h/24 : ils accompagnent, écoutent et rassurent les patients. Ils sont le lien indispensable entre les services, un trait d’union structurant pour l’établissement.

    La centrale de brancardage déploie une organisation depuis 2014, qui sert de modèle et réflexion à nombre d’autres établissements hospitaliers en France et dans les pays frontaliers (Belgique, Luxembourg) : la centralisation et l’optimisation du temps et des distances sont organisées avec le logiciel spécialisé PTAH pour satisfaire les demandes des services de soins et la prise en charge des patients.

  • Reprise des visites

    Au regard de l’amélioration de la situation sanitaire, le CHU Amiens-Picardie autorise la reprise des visites auprès des patients hospitalisés sans limitation de nombre et durée de présence, conformément aux règles de gestion habituelles des services et dans le respect de conditions strictes :

    possession d’un pass sanitaire, sauf dérogation médicale exceptionnelle
    port du masque chirurgical (nez, bouche, menton couverts) en permanence
    hygiène des mains
    distanciation

    Toutefois, les visites sont interdites si le visiteur présente des symptômes (fièvre, toux, perte du goût ou de l’odorat…) ou est un cas avéré de Covid.

    Pour les patients suspects ou atteints de Covid : la visite est soumise à autorisation médicale.

  • Covid-19 : respectons les gestes barrières !

    Face à la circulation virale importante des virus de la Covid-19 et du variant Omicron sur notre territoire, nous rappelons que les gestes barrières doivent être strictement appliqués, notamment sur les différents sites du CHU Amiens-Picardie pour votre sécurité et celle des personnels hospitaliers.

    Port du masque chirurgical obligatoire

    Les masques en tissu ne sont plus autorisés dans l’enceinte du CHU. Le port du masque chirurgical est obligatoire à partir de 6 ans, les plus jeunes qui le supportent peuvent aussi le porter.

    Hygiène des mains

    L’hygiène des mains est à pratiquer le plus souvent possible, soit avec du savon, soit avec une solution hydro-alcoolique

    Distanciation physique

    Il est important de respecter la distanciation physique entre les patients, avec les personnels hospitaliers. En salles d’attente, des sièges sont neutralisés, merci de les respecter le balisage.

    Ensemble agissons contre la Covid-19, respectons les gestes barrières.

  • Pass sanitaire : mise en place au CHU Amiens-Picardie

    Dans le cadre de l’obligation de présentation du pass sanitaire (loi n° 2021-1040 du 5 août 2021 relative à la gestion de la crise sanitaire) du 9 août 2021 au 31 juillet 2022, le CHU Amiens-Picardie met en place un dispositif d’accueil, information et contrôle aux principales entrées des différents sites.

    Concrètement, une trentaine d’agents d’accueil et de contrôle est mobilisée pour accueillir, orienter, informer et sensibiliser à la vaccination si besoin et enfin vérifier le pass sanitaire. Les points de contrôle et d’information sont ouvert 7J/7. Lors du scan du pass sanitaire (présenté sous format papier ou électronique), aucune donnée personnelle n’est stockée et les règles sanitaires sont appliquées.

    Pour les patients, il importe que la mise en place du pass sanitaire n’ait pas pour effet d’empêcher l’accès aux soins dans des délais utiles à la bonne prise en charge, sauf décision contraire de l’équipe médico-soignante :

    les patients se présentant aux urgences seront pris en charge comme habituellement,
    les patients en hospitalisation programmée ont déjà la consigne de se présenter avec un pass sanitaire ; toute situation particulière pourra être examinée par le médecin du service accueillant le patient,
    les patients venant en consultation sont invités à présenter un pass sanitaire ; à défaut d’en disposer, ils pourront se présenter au service de consultation qui décidera de la conduite à tenir en fonction de la situation d’urgence.

    Dans tous les cas, n’annulez pas vos RDV médicaux par défaut de pass sanitaire. Rapprochez-vous en amont du service de soins qui doit vous accueillir pour étudier votre situation.

    Pour les accompagnants et visiteurs, le pass sanitaire est obligatoire. Toutefois, toute situation particulière devra être soumise à avis médical.

    Les mesures énoncées ci-après sont applicables aux majeurs dès le 9 août et aux mineurs de plus de 12 ans à compter du 30 septembre.

    Spécificités

    En cancérologie : les patients nécessitant une prise en charge et dépourvus de pass sont admis selon les modalités définies et validées par le service. Une dérogation pourra être permise aux accompagnateurs lorsque leur présence s’avérera indispensable.

    En maternité (selon les recommandations du CNGOF et GRIG) :
    – le pass sanitaire ne s’applique pas aux patientes en suivi de grossesse
    – le pass sanitaire ne s’applique pas au co-parent, en particulier lors de l’accouchement et en post-partum

    En pédiatrie : l’accompagnant, acteur de soins, pourra être admis, sur avis médical.

    Toute situation particulière doit être discutée avec les équipes médicales et soignantes.

    Les professionnels du CHU Amiens-Picardie soulignent l’importance de se conformer au pass sanitaire et vous invite à vous faire vacciner :

    JE PRENDS UN RDV VACCINATION
    En ligne : www.keldoc.com

    Dans le contexte épidémique actuel, il est indispensable de maintenir les mesures barrières, et notamment le port du masque, l’hygiène des mains, et la distanciation physique.

  • Journée internationale des infirmières 2022

    La Journée internationale des infirmières est un évènement annuel et mondial qui se produit tous les 12 mai, en référence au jour anniversaire de la naissance de Florence Nightingale, une infirmière britannique pionnière des soins infirmiers. Cette journée est célébrée en mémoire des nobles actes accomplis par les infirmières et infirmiers.

    L’Institut de Formation en Soins Infirmiers du CHU Amiens-Picardie a été créé en 1938. En 2021, l’IFSI comptait 169 étudiants en 2021, ce quota augmente en 2022 pour atteindre 174 futurs professionnels. Ces professionnelles, formées pendant trois ans, sont en très large majorité des femmes : 85 % contre 15% d’hommes.

    La formation en soins infirmiers associe enseignements théoriques et cliniques, sur 3 ans, soit 6 semestres :

    2 100 heures de modules d’enseignement en IFSI de 35 heures hebdomadaires
    2 100 heures de stages sur la base de 35 heures par semaine (15 semaines durant la 1ère année, 20 semaines au cours de la 2ème année et 25 semaines dans le cadre de la 3ème année)
    900 heures environ de travail complémentaire personnel, soit environ 300 heures par an.

    Ce métier offre de nombreuses évolutions de carrière : infirmiers puériculteurs, infirmiers anesthésistes, infirmiers de bloc opératoire, cadres de santé, infirmiers de pratique avancée

    La plaquette de présentation du l’IFSI en 1969

    Le métier d’infirmier met en avant la relation humaine, tant au niveau de la vie en équipe qu’au niveau du contact avec les patients à qui l’infirmier apporte son aide, son écoute, ses soins… Les activités de l’infirmier sont riches : observation et recueil de données cliniques, soins de confort et de bien-être, information et éducation de la personne, de son entourage, surveillance de l’évolution de l’état de santé des personnes, soins et activités à visée diagnostique ou thérapeutique, coordination et organisation des activités et des soins, contrôle et gestion de matériels, dispositifs médicaux et produits, formation et information de nouveaux personnels et de stagiaires, veille professionnelle et recherche…

    Les structures où l’infirmier peut exercer sont très diversifiées : les soins de courte durée (chirurgie, médecine, urgences, réanimation, bloc opératoire, maternité…), les soins en santé mentale, les soins de longue durée et soins de suite et de réadaptation (Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes…), les soins à domicile, les soins en libéral, la santé au travail, la santé scolaire, les laboratoires.

    Au CHU Amiens-Picardie, 1 490 professionnels exercent la profession d’infirmier et infirmier spécialisé. Cette profession est majoritairement féminine (87,74%) avec une moyenne d’âge de 38 ans.

    Retrouvez le témoignage avec Noémie et Clément étudiants à l’IFSI CHU Amiens-Picardie :

    Rencontre avec Sylvie KIEBA et David RUAMOTU formateurs à l’IFSI :

  • Journée mondiale de la fibromyalgie

    Les Professeurs Éric SERRA, Vincent GOËB et Patrice FARDELLONE nous expliquent la maladie et les traitements de la douleur.

    La plus grande avancée en matière de compréhension et de traitement de la fibromyalgie.

    Dans le cadre de la fibromyalgie, la meilleure compréhension des phénomènes de sensibilisation périphérique et centrale à la douleur explique l’intérêt de médicaments spécifiquement antalgiques et surtout de la reprise progressive d’activités physiques adaptées.

    Marche ou vélo ou piscine ou gymnastique douce sont maintenant prouvés comme étant les meilleurs traitements de la douleur mais aussi de la fatigue. Cette reprise d’activité physique, favorisée par les médicaments lorsqu’ils sont efficaces, nécessite dans certaines situations l’accompagnement initial par un kinésithérapeute mais aussi la pratique de la relaxation ou de l’hypnose voire de yoga ou de gymnastique chinoise.

    Trois conseils pour reprendre des activités physiques adaptées

    1. Choisissez l’activité que vous préférez et qui vous semble la plus facilement réalisable.
    2. Fixez-vous un horaire, commencez sous vos possibilités réelles, préférez une activité plusieurs fois par semaine à petite dose qu’une seule fois à grosse dose.
    3. Demandez conseil à votre médecin, à votre kinésithérapeute, à vos proches et pratiquez dans un groupe informé de votre reprise d’activité physique adaptée.