Notre actualité

  • Vaccination gratuite contre la variole du singe (Monkeypox)

    Le 23 juillet 2022, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) déclarait l’état d’urgence international de santé publique en raison d’une forte circulation du virus de la variole du singe (ou Monkeypox) dans le monde et tout particulièrement en Europe.
    Depuis le 11 juillet 2022, le Centre Gratuit d’information, de Dépistage et de Diagnostic des IST (CeGIDD) du CHU Amiens-Picardie propose la vaccination gratuite contre la variole du singe.

    Le virus de la variole du singe peut être transmis par :

    contact direct avec les lésions cutanées ou les muqueuses d’une personne malade,
    gouttelettes (salive, éternuements, postillons…),
    rapports sexuels (avec ou sans pénétration).
    La contamination peut aussi avoir lieu au contact de l’environnement du malade (literie, vêtements, vaisselle, linge de bain…).

    La Haute Autorité de Santé (HAS) recommande la vaccination préventive des publics les plus exposés au virus :

    les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH) et les personnes transgenres, dans les deux cas, multipartenaires
    les personnes en situation de prostitution
    les professionnels exerçant dans les lieux de consommation sexuelle

    Les cas contacts de personnes atteintes du virus peuvent également se faire vacciner.

    La vaccination est effectuée après prescription médicale par les infirmiers, le schéma vaccinal comprend 2 doses à au moins 28 jours d’intervalle (ou 1 dose unique pour les personnes nées avant 1980 et ayant déjà été vaccinées contre la variole, et 3 doses pour les personnes immunodéprimées).

    Le prise de RDV se fait par téléphone :

    JE PRENDS RDV
    03 22 66 75 10

    La vaccination aura lieu au CeGIDD du CHU Amiens-Picardie situé au 16 rue Fernel, 80000 Amiens (la prise de rendez-vous est obligatoire).

    Également, une ligne téléphonique d’information Monkeypox Info service pour répondre aux questions sur les symptômes, les traitements et la vaccination est joignable de 8h à 23h 7J/7 : 0 801 90 80 69 (appel gratuit).

  • Signature des premiers CAE

    24 étudiants infirmiers ont signé leur Contrat d’Allocations d’Études pour s’engager au CHU Amiens-Picardie pour leur 1er job !

    Accompagner, recruter et fidéliser nos professionnels de demain
    En avril dernier, le CHU Amiens-Picardie lançait sa campagne de communication pour recruter ses futurs bénéficiaires du Contrat d’Allocations d’Études, dédié aux étudiants infirmiers entrant en 3ème année d’IFSI.

    À l’issue de la phase d’entretiens, 24 des 27 candidats reçus se sont vus proposer un contrat d’allocation d’études.

    Vendredi 26 août 2022, 18 d’entre eux ont été accueillis au sein de notre établissement, par la Direction des Ressources Humaines et la Direction des Soins afin de leur faire signer leur contrat, qui débutera le 1er septembre prochain.

    Après un rappel des conditions d’engagement de ce contrat, les étudiants ont eu une présentation de l’accompagnement et du suivi mis en place conjointement par la DRH et la Direction des Soins, pour faire de cette année et de ce dispositif, une réussite.

    À différents moments forts de l’année, des temps d’échanges seront organisés avec les étudiants, pour assurer un suivi de leur apprentissage au travers de leurs stages notamment, et pour recueillir leurs attentes en termes d’affectations futures, au sein de l’établissement, au moment de leur recrutement en CDI.

    Ce temps de rencontre collectif a également été un moment de convivialité, au cours duquel chacun a pu faire connaissance avec ses potentiels futurs collègues.
    Chacun d’entre eux semblait être ravi de faire partie de cette nouvelle aventure et des perspectives à venir.

    Nous leur souhaitons à tous une bonne rentrée au sein de leurs IFSI respectifs.

  • Adaptation des mesures liées à la Covid-19

    Dans le cadre de la fin de l’État d’Urgence Sanitaire, les mesures suivantes ont été décidées après validation de la Cellule de suivi de la crise Covid-19 du CHU Amiens-Picardie à compter du 1er août 2022.

    Contrôle du pass sanitaire
    Il est mis fin au contrôle du pass sanitaire.

    Port du masque et gestes barrières
    Afin de protéger les patients, notamment ceux particulièrement fragiles, le port du masque (nez, bouche, menton couverts en permanence) est maintenu dans l’établissement pour tous (personnels, consultants, visiteurs).

    Tests PCR aux patients
    Sur prescription médicale, les tests PCR avant hospitalisation pour les hospitalisations programmées, ou à l’entrée en hospitalisation s’agissant d’une entrée via les urgences, sont maintenues dans les conditions actuelles.

    Visites
    Les visiteurs des patients ont la possibilité de venir voir leur proche conformément aux règles de gestion habituelles des visites dans les services, dans le respect des mesures barrières : port du masque, hygiène des mains et distanciation.

    Les visites demeurent interdites si le visiteur présente des symptômes (fièvre, toux, perte du goût ou de l’odorat…) ou est un cas avéré de Covid.

  • Agrandissement du service de radiothérapie pour améliorer la prise en charge des patients atteints de cancer

    D’ici 2024, au terme d’un an de travaux, le service de radiothérapie du CHU Amiens-Picardie se verra doté d’un espace plus grand et modernisé, et d’un équipement supplémentaire pour le traitement par rayon X, mieux adaptés au flux des 1 300 patients atteints de cancer accueillis par an.

    Ce projet s’inscrit dans le cadre de la stratégie décennale de lutte contre les cancers 2021-2030 et l’engagement du CHU Amiens-Picardie à limiter les séquelles, améliorer la qualité de vie et lutter contre les cancers de mauvais pronostic. En tant qu’hôpital public et centre de référence cancer du sud des Hauts-de-France, le CHU Amiens-Picardie entend s’assurer que les progrès technologiques et de prise en charge bénéficient à tous

    L’agrandissement du service de radiothérapie permettra d’améliorer de manière générale l’organisation de l’accueil et des soins et de prendre en charge plus de patients. Le projet inclut une architecture moderne, lumineuse et fonctionnelle qui offrira aussi un meilleur confort pour les patients et professionnels qui assurent ces prises en charge complexes et personnalisées.

    Ces nouveaux espaces en continuité du service actuel sur le site sud (bâtiment de radiothérapie) permettront de proposer 523 m² (soit 350 m² de plus) avec de nouvelles zones d’accueil et d’attente pour les patients et accompagnants, des zones de prises en charge et 2 nouveaux bunkers (salles spécialement adaptées protégeant l’extérieur des rayonnements émis) et des zones de bureaux et logistique rénovées pour les professionnels.

    Le CHU Amiens-Picardie, seul centre d’expertise et de recours en cancérologie du sud des Hauts-de-France, a pu prendre toute la mesure de ce besoin de modernité et engager des travaux coûteux mais indispensables. Cet investissement majeur est de l’ordre de 20 millions d’euros (budget global de l’opération travaux et équipements). La volonté de modernisation du service de radiothérapie répond aux attentes légitimes des patients et de leurs familles à savoir des traitements rapidement débutés, précis et plus condensés dans le temps. Les buts avoués restent (et resteront) la recherche d’un meilleur contrôle de la maladie, et donc de plus grandes chances de survie, tout en limitant le risque de complications.

    Le service de radiothérapie est situé et restera dans ses locaux historiques au sous-sol du bâtiment Fontenoy – Hall 3 en cours de rénovation. S’il y a 10 ans le service accueillait environ 800 patients par an, ils sont désormais 1300 à avoir recours à la radiothérapie au sein du CHU Amiens-Picardie et nécessitent des prises en charge complexes et personnalisées. Le service de radiothérapie est dirigé par le Docteur Alexandre COUTTE et animé par différents spécialistes qui interviennent dans l’élaboration et la réalisation du traitement : radiothérapeutes, radio physiciens, dosimétristes, cadre de santé, responsable opérationnal qualité, manipulateurs, infirmière, secrétaires médicales et agents d’accueil.

  • Projet Temeyouz : Améliorer les soins de santé primaire et de la santé maternelle et infantile en Mauritanie

    Le CHU Amiens-Picardie est associé à un projet d’envergure sous maitrise d’œuvre d’Expertise France et en collaboration avec le ministère de la santé mauritanien.

    Notre établissement participe à la formation des sages-femmes qui pourront assurer la prise en charge materno-fœtale en centre hospitalier ou en centre de santé et la coordination des services de santé sexuelle, reproductive et infantile dans 4 régions de Mauritanie (Nouakchott, Assaba, Guidimakha et Hodh el Garbi). Ce projet couvre la malnutrition aigüe sévère, depuis le niveau primaire jusqu’à la prise en charge globale des violences basées sur le genre et des fistules obstétricales dans les structures sanitaires publiques.

    Le projet Temeyouz couvre plus largement la structuration des formations initiales et continues de l’École Supérieure des Sciences de la Santé (ENSSS) de Nouakchott et de l’École de Santé Publique de Kiffa (ESPK)
    Emmanuelle CARDOSO, Sage-femme enseignante de l’École de sages-femmes investie dans ce projet, a mené une première mission à Nouakchott en janvier 2021 pour évaluer les besoins en formation des sages-femmes mauritaniennes ; 53 professionnels ont été rentrés.

    Cette mission a été suivi de 2 autres en octobre 2021 et en février 2022 pour adapter le cursus de formation au nouveau référentiel de compétences des sages-femmes mauritaniennes et au système LMD.
    Ceci implique une ré-ingénierie de la formation avec développement des compétences des enseignants en pédagogie active. L’objectif est d’adapter la formation des sages-femmes au sein de l’École Supérieure des Sciences de la Santé – ENSSS de Nouakchott, (basée en Mauritanie), aux besoins de santé nationaux et aux standards internationaux.

    Cette coopération a été formalisée dans le cadre d’un contrat-cadre signé en décembre dernier par le CHU Amiens-Picardie et le CHU d’Angers. L’équipe de Nouakchott a réalisé au mois de mai une visite d’étude de notre maternité, de SimUSanté et a rencontré l’équipe enseignante de l’école de sages-femmes, renforçant ainsi cette collaboration.

    Les principaux partenaires de mise en œuvre :

    Le ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de Technologies de l’Information et de la Communication
    Le Centre National de la Transfusion Sanguine (CNTS)
    L’École Nationale Supérieures des Sciences de la Santé (ENSSS)
    Les associations partenaires : Médicos del Mundi Espana (MDM) et Santé Sud (Sud) et Association Mauritanienne pour la Promotion de la Famille (AMPF)

  • Recherche en cancérologie : de nouvelles perspectives au CHU Amiens-Picardie

    Avec la nouvelle autorisation obtenue en mars 2022 de l’Agence Régionale de Santé, le CHU Amiens-Picardie peut porter et déployer davantage d’études et de projets de recherche pour lutter contre les cancers, notamment liés à des recherches médicamenteuses.

    En dédiant un « lieu de Recherche Impliquant la Personne Humaine » à la cancérologie, soit l’autorisation de consacrer des chambres pour mener des études avec les patients, le CHU Amiens-Picardie ouvre des nouvelles perspectives d’essais cliniques pour les patients atteints de cancer, au bénéfice de prises en charge innovantes.

    Cette autorisation est une reconnaissance de l’expertise en cancérologie du CHU Amiens-Picardie et de son centre de recherche clinique (et en particulier en Hématologie, Dermatologie, Oncologie médicale et Hépato-gastro-entérologie).

    Une partie de l’équipe de recherche clinique du Centre de Recherche Clinique cancérologie de l’Oncopôle

    Quelle est la définition d’un essai clinique de phase précoce ?

    Ces essais cliniques de phase I, appelés aussi phase précoce, permettent de tester la tolérance et l’efficacité de tout nouveau médicament, provenant de laboratoires pharmaceutiques, de sociétés de biotechnologies, mais également de laboratoires académiques, dans le respect des règles de protection des patients et des exigences de la réglementation internationale en la matière.

    Que peut-on attendre de ces essais en termes d’innovation ?

    Ces essais cliniques permettent d’améliorer la prise en charge des patients atteints de cancer en donnant accès rapidement aux patients à des molécules innovantes. L’organisation de ces essais renforce aussi la visibilité et l’attractivité de la recherche clinique française, et bien sûr celle menée au CHU Amiens-Picardie, auprès des industriels du médicament en France et à l’étranger.

    En quoi l’organisation de ce type d’essai est-elle différente ?

    Concrètement, cette autorisation délivrée pour 3 ans va permettre aux équipes de mener des recherches en cancérologie d’excellence :

    sur un médicament ou un traitement à destination des patients nécessitant des actes non habituellement pratiqués dans le cadre de l’activité du lieu de soins
    et d’effectuer des premières administrations de médicament au patient.

    Il s’agit donc d’études dans lesquelles la surveillance médicale (examens cliniques, biologiques, et d’imagerie) est plus intense que pour des essais cliniques à un stade plus avancé ou des traitements de pratique courante. L’objectif de cette surveillance rapprochée est de garantir avant tout la sécurité des patients. Par ailleurs, de nombreux examens et prélèvements (sanguins et/ou de tumeurs) sont réalisés à des moments très précis de manière à mieux comprendre comment l’organisme assimile le nouveau médicament, mais aussi à vérifier que le traitement produit bien l’effet biologique attendu chez le patient. L’ensemble de ces examens en font des études complexes à la fois pour les patients et les équipes soignantes.

    PLUS D’INFOS SUR LA RECHERCHE EN CANCÉROLOGIE DU CHU AMIENS PICARDIE

     A ce jour, ce sont ainsi 458 essais portant sur la cancérologie qui sont en cours au CHU Amiens-Picardie, dont 57 en qualité de promoteur.

    Le CHU Amiens-Picardie affiche ainsi une dynamique importante dans la stratégie décennale de lutte contre le cancer 2021-2030. Dans les Hauts-de-France encore plus qu’ailleurs, l’offre de soins en cancérologie et un accès proche à l’innovation et au recours doit être encouragée. La visibilité des projets de recherche en cancérologie et des essais cliniques disponibles sont des éléments essentiels qui favoriseront le parcours de soins en cancérologie.

    Le Centre de recherche clinique de l’Oncopôle situé dans des nouveaux locaux dans le bâtiment Fontenoy Hall 3, est animé par une équipe constituée d’un coordonnateur, d’une infirmière de recherche clinique et de techniciens de recherche clinique. Ils se consacrent à la réalisation des inclusions et aux suivis des patients conformément aux bonnes pratiques cliniques.

  • EpioneTV lancée à la rentrée !

    Le campus santé Epione développe une webTV pédagogique.

    Accessible à partir de septembre sur Epione, EPIONE TV sera nourrie de projets réalisés par et pour les étudiants en santé. Une occasion pour eux et pour leurs formateurs de valoriser leurs actions, idées, projets… en lien avec la santé.
    EpioneTV sera aussi une nouvelle ressource, fiable et à l’image des jeunes acteurs de la santé, pour tous les lycéens, les patients, les aidants, l’ensemble des professionnels de santé ou encore le grand public.

    Bientôt sur EpioneTV, découvrez :

    Les métiers de la santé vus par les étudiants
    Des sujets innovations recherche
    • Des conseils
    Des portraits
    Des actus
    De nombreux témoignages d’étudiants en santé
    Des concours, jeux, stories, sondages, FAQ… et bien plus encore… à vous de la faire vivre !

    N’hésitez pas à faire part de vos suggestions de sujets par email.

  • Animation Handijeux à Saint Victor

    Durant 2 jours, la Compagnie Sac à Dés a proposé des jeux qu’elle a fabriqués avec des objets ou des matériaux recyclés aux résidents de Saint Victor. C’est une façon de montrer qu’il est possible de donner une seconde vie aux objets. Autrefois, les jeux n’étaient pas construits de manière industrielle, les jouets étaient des éléments de la vie de tous les jours, détournés de leur usage. Si certains jeux sont des répliques de ceux d’autrefois, d’autres sont plus modernes bien que toujours fabriqués à partir du recyclage.

    L’association a pour vocation d’adapter les jeux pour que le plus grand nombre de personnes puisse les utiliser. Ainsi, elle prend en compte un maximum de handicaps :
    Troubles visuels : des repères tactiles et le son des pièces sur les plateaux aident au repérage spatial.
    Troubles cognitifs : des règles simples et modifiables qui peuvent être comprises par tous.
    Troubles auditifs : des voyants lumineux sont ajoutés aux signaux sonores.
    Troubles moteurs : les pièces sont de grande taille pour faciliter la prise en main et les plateaux peuvent être mis à portée de main. De plus, la plupart des gestes utilisés pour jouer sont simples comme faire glisser des balles sur un plateau pour le clic-ball et le billard japonais.
    Déficit en concentration : des jeux demandant un peu d’attention sont idéaux pour se concentrer tout en s’amusant !

    Ce sont 2 journées qui ont pu distraire les résidents et leur rappeler leurs souvenirs en jouant aux jeux d’antan.

  • Le bon patient, au bon endroit et au bon moment et en toute sécurité : les enjeux du transport patient

    AU CHU Amiens-Picardie, les différentes étapes du transport d’un patient, de la demande jusqu’à la dépose, font l’objet d’une traçabilité assurée par les brancardiers et ambulanciers.

    Sur leur smartphone et en temps réel, ces derniers transmettent au logiciel de gestion les données nécessaires au suivi du déroulement des transports et à l’optimisation des ordonnancements. Ils y déclarent également tous les dysfonctionnements qu’ils rencontrent, générateurs de retards de prise en charge et de potentielle attente pour le patient ou le soignant.

    Depuis le mois d’avril 2022, le parc des téléphones professionnels des brancardiers et ambulanciers du CHU Amiens Picardie a été renouvelé. Ces nouveaux terminaux permettent d’optimiser la réception et la traçabilité amis surtout de renforcer la vérification de l’identité du patient.
    Désormais, à chaque prise en charge, le brancardier est amené à lire, grâce à son téléphone professionnel, le code barre du bracelet d’identification du patient.


    Cette démarche d’identitovigilance permet de mieux sécuriser la prise en charge lors d’un transport patient

    Cette nouvelle pratique vient en complément des pratiques existantes de vérification de l’identité du patient (questions ouvertes posées au patient).
    Pour sécuriser tout parcours de soins, un bracelet d’identité est posé dès l’arrivée d’un patient en hospitalisation ou d’un nouveau-né.

    Afin de sécuriser l’identité de chacun, une preuve de celle-ci (carte d’identité, passeport) est demandée lors de toute admission. Ensuite, à chaque étape des soins, les professionnels de santé vérifient l’identité des patients qu’ils prennent en charge.

    70 agents parcourent en moyenne 1 800 km par an, principalement sur le site sud (80% de l’activité) 24h/24 : ils accompagnent, écoutent et rassurent les patients. Ils sont le lien indispensable entre les services, un trait d’union structurant pour l’établissement.

    La centrale de brancardage déploie une organisation depuis 2014, qui sert de modèle et réflexion à nombre d’autres établissements hospitaliers en France et dans les pays frontaliers (Belgique, Luxembourg) : la centralisation et l’optimisation du temps et des distances sont organisées avec le logiciel spécialisé PTAH pour satisfaire les demandes des services de soins et la prise en charge des patients.

  • Reprise des visites

    Au regard de l’amélioration de la situation sanitaire, le CHU Amiens-Picardie autorise la reprise des visites auprès des patients hospitalisés sans limitation de nombre et durée de présence, conformément aux règles de gestion habituelles des services et dans le respect de conditions strictes :

    possession d’un pass sanitaire, sauf dérogation médicale exceptionnelle
    port du masque chirurgical (nez, bouche, menton couverts) en permanence
    hygiène des mains
    distanciation

    Toutefois, les visites sont interdites si le visiteur présente des symptômes (fièvre, toux, perte du goût ou de l’odorat…) ou est un cas avéré de Covid.

    Pour les patients suspects ou atteints de Covid : la visite est soumise à autorisation médicale.